En 2024 à Cannes, le film "All We Imagine As Light" de la réalisatrice indienne Payal Kapadia met en avant les désirs de deux femmes qui luttent contre les restrictions de la société. Ce film audacieux mérite d'être apprécié malgré quelques réserves sur son style formel.
Écrit par Olivier De Bruyn
Au début de "All We Imagine As Light", nous voyons des images documentaires montrant l'agitation de Mumbai, une ville indienne surpeuplée. En voix off, des habitants anonymes partagent leurs désirs d'évasion. Ce même désir anime Prabha et Anu, deux infirmières qui vivent ensemble dans un petit appartement dans cette grande ville.
Lorsqu'elles ne travaillent pas à l'hôpital, ces deux femmes réfléchissent à leur vie amoureuse et à leur sensualité.
Cette information est destinée aux personnes qui se sont inscrites.
Inscrivez-vous sans frais
Accès aux articles exclusivement pour les membres inscrits
Diverses newsletters disponibles sans frais
La protection de vos contenus sur le site internet et l'application
Contenu vidéo
Paris en ligne : qui sont les véritables gagnants ?
Revanche des pays méditerranéens : Portugal, Espagne, Grèce
Les jeunes et le travail : un réel problème ?
Impact de la concurrence sur les tarifs SNCF
Articles populaires
Découverte de Montmartre à la manière d'Amélie Poulain
Analyse de "MaXXXine", un film d'horreur
Rétrospective sur Mag Bodard, une figure indépendante du cinéma
Actualités principales
Touristes et pouvoir d'achat aux JO 2024
Altice cède Teads pour un milliard de dollars
Bilan mitigé des géants du CAC 40 au premier semestre
Cinéma et séries
Portrait de Sylvie Pialat, défenseur de l'indépendance cinématographique
Analyse de "Full River Red" et son univers sanglant
Nouveau regard sur "MaXXXine", un film d'horreur marquant
Informations pratiques
P
L'Ensemble
Tous les droits sont protégés – Copyright Les Echos 2024.