Les désagréments rencontrés lors de la préparation des Jeux Olympiques de Paris 2024 sont typiquement français. Seuls les abonnés ont accès à ce contenu.

Les entreprises de transport RATP, SNCF et ADP utilisent des technologies avancées telles que la vidéosurveillance améliorée, la communication sur le niveau d'affluence et les scanners 3D pour gérer le grand nombre de passagers attendus lors des Jeux Olympiques. Elles cherchent également à améliorer la signalétique en France.

Écrit par Anaïs Moutot

Sur la table, il y a plusieurs bâtons lumineux et des talkies-walkies. A la gare parisienne des Invalides le 21 juin, les employés de la SNCF se préparent à aider les voyageurs pour la Fête de la musique. Cette soirée est organisée comme un exercice pour se préparer aux Jeux Olympiques et paralympiques.

Le commencement des Jeux Olympiques à Paris le vendredi 26 juillet représente un défi inédit pour les entreprises qui gèrent les transports en commun tels que les RER (A à E) et les lignes du Transilien (N, H, K…). La RATP, responsable du métro et de certaines parties des RER A et B, est également confrontée à ce défi. Avec une vingtaine de sites olympiques dispersés dans toute la région parisienne, environ 90 gares seront impactées. Cependant, la plupart de ces gares n'ont pas été conçues pour accueillir un tel afflux de personnes.

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