Le film "Dîner à l'anglaise" présente de manière humoristique la dégustation d'un rosbif froid. Malgré quelques scènes comiques et inattendues, le film ne parvient pas à apporter de renouveau au thème classique du cadavre encombrant.
Écrit par Adrien Gombeaud
Une question importante dans le monde du cinéma est : comment gérer la présence d'un cadavre ? Le film "Dîner à l'anglaise" commence dans une magnifique maison à Londres où un couple organise un dernier repas avant de vendre la propriété. Parmi les invités se trouvent des amis fidèles et une vieille connaissance inattendue que personne ne voulait revoir. La situation se complique lorsque cette dame se rend dans le jardin… où elle sera retrouvée pendue !
Cet article est destiné aux personnes qui se sont enregistrées.
Enregistrez-vous sans frais
Accédez aux articles exclusivement pour les membres inscrits
Découvrez une variété de bulletins d'information gratuits.
La protection de vos contenus sur le site et l'application
Notre contenu vidéo
Paris sportifs en ligne : qui profite réellement des gains ?
Portugal, Espagne, Grèce : la résurgence des pays méditerranéens
Les jeunes rencontrent-ils des difficultés avec le monde du travail ?
Est-ce que la concurrence dans le domaine ferroviaire peut conduire à des tarifs plus bas ?
Les articles les plus consultés
Hommage à Margaret Menegoz (1941-2024) : la perte d'un regard unique
Découvrez le documentaire « Elizabeth Taylor : The Lost Tapes »
Plongez dans l'angoisse spatiale avec « Alien : Romulus »
En vedette
La France renforce sa position dans le classement de Shanghai
Starbucks propose des salaires attractifs et encourage le télétravail pour son nouveau PDG
Kiev brise un tabou allemand en envoyant des Panzers en Russie
Culture cinématographique et séries télévisées
Hommage à Gena Rowlands (1930-2024) : une carrière marquée par l'amour
Plongez dans l'angoisse spatiale avec « Alien : Romulus »
Découvrez le dernier film des Larrieu, « Le Roman de Jim »
Informations pratiques
P
L'Ensemble
Tous les droits sont protégés – Copyright Les Echos 2024
