Noémie Calais a décidé de quitter Sciences Po pour se consacrer à l'agriculture biologique dans le Gers. Elle a choisi de s'engager pour une agriculture qui respecte davantage la nature après avoir fréquenté les grandes écoles.
Écrit par Charlotte
Les annonces gouvernementales du 26 janvier ont provoqué un choc important chez Noémie Calais, une agricultrice. Cependant, ce n'est pas pour les raisons habituelles : elle est préoccupée par le fait que l'agriculture deviendra de plus en plus dépendante des pesticides. De retour d'une manifestation de producteurs en agriculture biologique, elle met en garde contre le fait que cette dépendance conduira à des écosystèmes dysfonctionnels et que les agriculteurs seront les premiers touchés par l'utilisation de ces produits.
Il y a quelques années, ces manifestations étaient très éloignées de la vie de Noémie Calais. Après avoir obtenu son diplôme en affaires publiques à Sciences Po Paris, elle a travaillé à Hong Kong avant de s'installer à Londres dans une entreprise de conseil en développement international. Cependant, des problèmes de santé ont perturbé sa vie londonienne. "J'avais des problèmes cognitifs importants, en partie causés par la pollution", explique-t-elle. Vivre en ville n'était plus possible pour elle. Elle est donc rentrée en France avec l'objectif de vivre à la campagne.
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