La captation du carbone, une nouvelle solution technologique en vogue, réservée aux abonnés.
Les entreprises pétrolières font valoir les avantages économiques de ces technologies pour justifier la poursuite de leurs activités. Cependant, quels résultats réels peut-on espérer de la captation et de la séquestration du carbone ?
Ecrit par Stefano Lupieri
Ils ont indéniablement réussi à se placer au sommet de la catégorie des solutions technologiques pour la décarbonation. Je parle ici des dispositifs qui permettent de capturer et de stocker le CO2. Ces technologies étaient implicitement au cœur des discussions lors de la COP 28 sur la sortie des hydrocarbures. Les pays producteurs de pétrole les ont utilisées pour justifier la poursuite de leurs activités. En septembre dernier, Emmanuel Macron a également appelé à accélérer le développement de ce secteur, soulignant la nécessité de mettre en place au moins un site de stockage du CO2 en France.
Un impact encore limité
Inscrivez-vous pour accéder à la suite
Nos vidéos
Des étudiants britanniques formés pour devenir des professionnels de l'e-sport
Charles III sur les Champs-Élysées : dans les coulisses du défilé
Les premiers mots de Gabriel Attal, le nouveau Premier ministre : "Audace et mouvement"
Comment la société chinoise BYD est devenue un leader de l'industrie automobile électrique
Les articles les plus populaires
La chronique de Marc Lambron : Prédictions pour 2024
L'optimisme de la rationalité
La séquestration du carbone, la nouvelle solution technologique star
En vedette
Gouvernement Attal : la surprise avec Dati, symbole d'une équipe qui penche à droite
Recomposition : Bruno Le Maire renforcé avec un grand ministère de l'Économie
Recomposition : Catherine Vautrin, une gaulliste à la tête d'un important ministère des Affaires sociales
Chroniques
La séquestration du carbone, la nouvelle solution technologique star
La chronique de Marc Lambron : Prédictions pour 2024
L'optimisme de la rationalité
Informations utiles
P
L'ensemble
Ce texte est protégé par les droits d'auteur et est la propriété exclusive des Echos en